Divorce au pays des clones

[Science-Fiction]. Lors des divorces, il n’y a plus de garde alter­née, on clone les enfants. Idem pour les ani­maux de com­pa­gnie. Pour les objets, on les duplique. Le livre se concentre sur l’a­mer­tume du per­son­nage prin­ci­pal (mas­cu­lin) dans les années qui suivent son divorce. Assez intros­pec­tif. Le per­son­nage a tou­jours des contacts avec son ancienne femme. Lors du divorce, il a eu des ori­gi­naux de cer­tains biens, mais il n’ a eu que le clone de l’a­ni­mal de com­pa­gnie. Le couple n’a pas d’en­fants. L’intrigue explore les sen­ti­ments et la ran­cœur du per­son­nage, en s’ap­puyant sur les élé­ments de science-fic­tions qui consti­tuent l’univers.

Exemple : Il est socia­le­ment pré­fé­rable d’a­voir l’o­ri­gi­nal à la copie, et le fait d’a­voir le clone ou la copie de quelque chose ne com­pense abso­lu­ment pas. Ce n’est pas comme ne plus avoir la chose du tout. C’est en avoir une ver­sion simi­laire, mais dont la valeur sociale est dégra­dée et dégrade son pos­ses­seur. Il peut avoir une forme de honte à n’a­voir que le clone.

Exemple 2 : L’existence de copies et de clones per­met de conti­nuer des que­relles acides par delà la sépa­ra­tion. Un désac­cord sur la façon d’é­du­quer les enfants : cha­cun va appli­quer les prin­cipes qu’il jugeait bons sur sa “ver­sion” de l’en­fant. Mais puis­qu’on peut com­pa­rer les résul­tats, on peut prou­ver son tort à l’autre rétro-spectivement.

Exemple 3 : Il peut avoir des asy­mé­tries qui se créent et génèrent du res­sen­ti­ment. Le per­son­nage prin­ci­pal a eu le clone de l’a­ni­mal de com­pa­gnie, mais celui-ci est mort quelques mois plus tard, alors que l’o­ri­gi­nal se porte tou­jours bien.